SCANDALE GÉRARD MILLER : LE “FÉMINISTE HYPNOTISEUR” QUI CACHAIT UN MONSTRE | LA MATINALE GPTV
Description
Le 16 novembre 2024, Jean-Luc Robert était l’invité de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, “Neuro divers +”, explore les enjeux et les conséquences du surdiagnostic chez les jeunes et les adultes, mettant en lumière les dangers de la marchandisation de la santé mentale.
Féministe à la télévision et prédateur en coulisses
Gérard Miller n’a jamais été le féministe qu’il prétendait être. Derrière ses discours flatteurs et ses apparitions médiatiques en défense des droits des femmes, se cache un prédateur. Aujourd'hui, 67 femmes l'accusent de viols, exposant la véritable nature d’un homme qui utilisait son image de militant comme couverture. Ce n’est pas une simple accusation, mais une vérité éclatante. Son masque tombe, dévoilant un homme qui a cyniquement exploité le féminisme pour gagner la confiance des médias et du public tout en poursuivant ses propres intérêts sordides.
Cette imposture révèle l'hypocrisie d’une certaine élite qui prêche des valeurs mais les piétine en coulisses. Le cas de Gérard Miller n’est pas isolé. Il illustre un fossé profond entre ce qui est proclamé en public et ce qui est pratiqué dans l'ombre. Miller n’a jamais été un allié des femmes, mais bien leur bourreau, protégé par une façade médiatique complice.
Gérard Miller protégé par un système complice
Les élites médiatiques et politiques de gauche ont sciemment ignoré les agissements de Gérard Miller. Ce silence n’est pas accidentel : il est complice. Les médias, habituellement prompts à dénoncer les comportements déviants, se taisent étrangement quand il s’agit de l’un des leurs. Cette impunité orchestrée démontre que certaines figures sont protégées à tout prix, même lorsqu’elles commettent les actes les plus odieux. Ce silence est une trahison des principes que ces institutions prétendent défendre.
Ce n’est pas seulement une question de parti pris ; c’est une volonté délibérée de dissimuler la vérité pour maintenir l’image de la gauche bien-pensante. Les médias dominants montrent ici leur vrai visage : celui d’une machine de propagande prête à étouffer les faits pour sauvegarder des alliances politiques et idéologiques. Gérard Miller a profité de cette protection, et aujourd'hui, ce mur de silence illustre l’emprise de certaines élites sur les discours publics.
Quand le « camp du bien » défend l’indéfendable
Miller a exploité son pouvoir et son statut pour intimider, manipuler et violer en toute impunité. Protégé par des réseaux influents et une gauche bien-pensante refusant de regarder la réalité en face, il a pu perpétrer ses crimes sans être inquiété. Ces faits, soutenus par des témoignages accablants, dévoilent la mécanique de ses abus. L'absence de sanctions illustre bien le privilège dont jouissent certains.
Il est inadmissible qu’en 2024, une figure comme Gérard Miller puisse encore échapper à des conséquences judiciaires. La gauche bien-pensante qui se considère comme le « camp du bien », ne peut plus prétendre défendre les opprimés tout en protégeant des agresseurs en son sein.